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Golf

Préparation mentale sport

Préparation mentale sport

Golf, le 15ème club

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      Pour que l’être humain soit en harmonie, il faut que le physique, le psychique et le spirituel trouvent un équilibre.

      Le sport, développe essentiellement le physique et le réel.

      Pour optimiser la préparation physique et équilibrer l’être, il est nécessaire d’y associer une préparation mentale.

      La sophrologie répond à ce besoin.

      Son point fort : la synthèse de plusieurs techniques :

     - relaxation,

     - respiration contrôlée,

     - pensée positive,

     - programmation positive,

     -  visualisation,

     - concentration,

     - mémorisation,

     - sophro-relaxations énergétiques.

 

      En niveau sophro-liminal : il n’y a plus ni avenir, ni passé et seul le présent existe.

      Le principe est le suivant : 

      Le golfeur peut intégrer mentalement un programme.

      Le cerveau fera tout pour reproduire dans la réalité ce qui lui a été programmé en état sophronique.

 

Vous souhaitez un accompagnement?

                                             contactez moi

"Le golf de compétition se joue surtout sur un parcours de 15 cm, l'espace entre vos oreilles ! "
Bobby Jones

La gestion de la douleur

La douleur peut être physique ou psychique.

La douleur est le lien direct entre une partie malade ou blessée du corps et le cerveau. Cela veut dire que chacun devrait être capable de contrôler une douleur, et même de l’ignorer.

Pour cela, il faut reprogrammer son cerveau et apprendre à analgésier certaines parties du corps en pratiquant les méthodes de la sophrologie spécialement mises au point à cet effet.

La douleur est souvent un signal d’alarme utile. Avant de la supprimer, il faut d’abord la comprendre.

La sophrologie permet d’apprendre à contrôler le fonctionnement de nos organes internes, à diminuer la douleur, à améliorer la mémoire, etc

La sophrologie est efficace car elle peut vous aider à supprimer la douleur en la comprenant.

La sophrologie peut aider à contrôler la douleur par deux actions différentes. Tout d’abord, directement sur les tensions musculaires locales par la relaxation, ensuite sur le cerveau lui-même en agissant sur le centre responsable de la douleur.

Douleur

Contrôle de la peur et du stress

C’est un agent stressant qui provoque des réactions physiologiques, organiques liées au stress.

La peur entraîne des tensions musculaires importantes. La prise de conscience des tensions et la capacité d’apprendre à les relâcher peuvent les juguler en partie.

Les effets du stress : augmentation de la fréquence respiratoire, variation du rythme cardiaque et les tensions musculaires.

La peur protège des dangers.  Le trac a un effet moteur s’il n’est pas paralysant, il faut apprendre à le contrôler.

Il existe une relation directe entre les muscles et le cerveau.

Si vous avez un problème psy important, vous perdez partiellement ou entièrement le contrôle de vos mouvements, ce qui réduit considérablement la possibilité d’une performance.

La 1ere chose à apprendre est d’expérimenter la crispation physique qui accompagne une tension mentale, d’en être conscient, pour être capable d’éliminer ces contractures inutiles.

Peur = tension

Peur

La connaissance de soi

Toutes les techniques de sophrologie permettent une amélioration de la connaissance de soi, de son corps (vécu du schéma corporel, intégration de celui-ci), et par ailleurs, la connaissance de sa structure mentale.

La connaissance de soi, permet de s’accepter tel que l’on est et de devenir par la même plus compréhensif vis-à-vis des autres, les acceptants eux aussi tels qu’ils sont.

Le principe d'intégration du schéma corporel :

En sophrologie, le schéma corporel se définit par la représentation personnelle de tout ce qui constitue l'individu : l'enveloppe physique, les émotions, les sensations, l'intelligence, la réflexion, les intuitions, les valeurs, etc.

Le schéma corporel est donc la représentation globale que l'individu à de lui-même et l'intégration de ce schéma corporel est permanente car la représentation de soi évolue à chaque instant.

Connaissance de soi

L'accompagnement pendant

des traitements lourds

Je me déplace à la demande

La demande d’accompagnement en sophrologie dans le cadre d’un cancer peut être de deux natures  :

•  une démarche spontanée de la part de la personne malade  

•  une démarche qui lui a été conseillée

Durant les traitements,

La personne traverse des états physiques et psychologiques opposés.

Souvent très combative et déterminée au début, sa motivation et son optimisme diminuent avec l’accroissement des effets secondaires  et la durée des traitements.

La personne malade associe souvent les effets indésirables à l’aggravation de sa maladie et s’inquiète beaucoup de l’évolution de son état de santé.

Elle s’inquiète également lorsqu’elle ne ressent aucun effet indésirable, car elle se met à douter de l’efficacité du traitement.

Les différentes conséquences des traitements (ablation, perte de poids, alopécie, etc.) entraînent également une perte de confiance en soi.

La personne se sent diminuée, touchée dans son intégrité physique et trop fatiguée pour continuer à mener son quotidien. Elle perd son autonomie, s’en remet régulièrement à ses proches et perd toute estime d’elle-même.

Durant cette période, la personne est découragée et il est fréquent qu’elle ait envie d’arrêter ses traitements, voire son combat contre la maladie.

Depuis maintenant quelques années, les médecins proposent la sophrologie comme technique d’accompagnement possible. En effet, les effets bénéfiques de la relaxation et de la visualisation positive sur les effets indésirables de la chimiothérapie (nausées et vomissements) ou sur les symptômes psychologiques de la maladie (anxiété, angoisse, dépression, colère, etc.) et le fonctionnement optimal du système immunitaire ont été démontrés par de nombreuses études.

L’efficacité de la sophrologie et ses larges champs d’application permettent à la personne atteinte par le cancer de redevenir actrice de sa guérison et d’améliorer sa qualité de vie dans les différentes périodes de sa maladie.

Voici quelques exemples de besoins auxquels répond la sophrologie  :

     •  être serein au quotidien  

     •  vivre paisiblement les interventions chirurgicales  

     •  mieux gérer les effets secondaires des traitements  

     •  mieux gérer la douleur  

     •  retrouver le sommeil  

     •  rester combatif  

     •  reprendre confiance en soi

La   fin   des   traitements :

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la fin des traitements est souvent une phase difficile à vivre pour la personne en rémission.

Elle est animée par des sentiments très ambivalents, comme la joie de s’entendre dire qu’elle a gagné son combat contre la maladie, mais aussi la peur que cela ne dure pas et que la maladie revienne. C’est aussi une période de grande solitude. Les visites médicales sont espacées, les proches sont moins présents et toute une organisation quotidienne est à reconstruire.

Par ailleurs, le retour à la vie professionnelle est souvent difficile, la personne n’ayant pas encore retrouvé toutes ses capacités physiques et mentales, et se sentant souvent en décalage avec ses collègues.

L’accompagnement sophrologique ne se substitue jamais aux traitements prescrits par le médecin, il est un complément à la prise en charge médicale.

 

Traitements lourds

Gestion des émotions

La sophrologie, science de la conscience harmonieuse est une méthode psychocorporelle qui, basée sur la respiration, la relaxation et la pratique d’enchaînements de gestes en harmonie avec une rythmique respiratoire spécifique, permet de se connaître, de l’intérieur.

Par sa pratique, on acquiert une capacité d’écoute de son corps, la connaissance de son schéma corporel et une meilleure connaissance de soi.

On rétablit l’harmonie entre le mental et le corps.

On maîtrise les symptômes du stress et des émotions.

Le regard que l’on pose sur soi et sur sa vie devient bienveillant et objectif. On renforce ses capacités et ressources.

Face aux émotions, comment agir ?

Les connaître, utiliser des « amis » gestionnaires et la sophrologie.

L’émotion est une réponse physiologique à une stimulation et elle produit une réaction spécifique à une situation précise.

La réaction corporelle est intense au niveau de nos systèmes circulatoire, digestif, respiratoire et glandulaire.

Il ne faut pas confondre émotion et comportement : pour bien savoir de quoi on parle, on peut formuler la phrase suivante :

« J’ai le droit de … (émotion) ;

Pour autant cela ne m’autorise pas à … (comportement)».

L’émotion est conçue dans notre cerveau droit (celui de l’inconscient et de l’émotionnel) et non dans le cerveau gauche (celui du conscient et du rationnel).

Depuis l’enfance nous privilégions le cerveau gauche et lorsque nous voulons « maîtriser » nos émotions c’est encore à lui que nous faisons appel.

Le mécanisme de l’émotion est en trois temps : une charge (accumulation), une tension (saturation), une décharge (évacuation, celle de l’extériorisation, de l’énergie libérée) qui marque le retour à l’équilibre.

Émotion signifie é : aller vers l’extérieur et motion signifie mouvement (ex movere en latin).

L’émotion doit donc être exprimée. C’est dans sa nature.

Or, la société valorise le self control et l’enfance est porteuse d’injonction au silence (on ne pleure pas, on ne se met pas en colère..).

Les émotions non exprimées sont refoulées dans l’inconscient. Elles créent corporellement des zones de tension (cuirasse musculaire de Wilhem RECIH).

 Lorsque l’émotion n’est pas libérée elle s’inscrit dans le corps.

Et les émotions finissent toujours par se manifester.

Ce qui ne peut être dit en mots est dit par le corps, c'est le principe de la somatisation. 

Le corps est très bavard et dit ce que l’on veut cacher. Il nous exprime tous nos blocages...

Vous souhaitez connaître la suite? Venez assister à l'atelier Gestion des émotions

CALENDRIER GESTION DES EMOTIONS
Emotions

Gestion du stress

On pense que le stress est lié à l’environnement, à la société, aux bouchons, à l’univers entier…

Quand nous avons cette pression, que pouvons nous faire, en tant qu’individu, utiliser ses compétences, ses ressources pour faire face ou poser des limites, on peut faire ou apprendre à faire ; c’est le monde des solutions et pas le monde des problèmes.

1° - Qu’est ce que le stress :

Stress vient du mot Springerer qui veut dire serrer.

Le Professeur Hans Selye a été un pionner des études sur le stress et a donné un certain nombre de points clef :

  • qu’est ce que le bon stress?

  • le mauvais stress?

  • comment gérer ce stress?

 

Le stress est responsable de maladies consécutives a un lâcher d’hormone dans le corps qui vient bouleverser la physiologie générale.

Du coup on est au départ sur un problème psychologique qui produit des conséquences sur la physiologie qui aura à son tour des répercussions sur le corps/émotions. Quelque chose de très global.

Pourquoi est ce que le point de départ est psychologique ? Hans Selye nous dit qu’un événement qui se produit est à la base neutre mais c’est la façon dont on le regarde qui va le rendre stressant ou pas.

Vous souhaitez connaître la suite? Venez participer à mon atelier Gestion du stress

Stress

Tranformer nos pensées limitantes

Qu’est-ce qu’une croyance, quand et comment se forme t-elle ?

Une croyance est un postulat de départ, une pensée devenue croyance qui se forme principalement au cours de notre enfance et de notre adolescence, et à un rythme plus lent, à l’âge adulte.

Au cours de notre existence, selon nos expériences, notre milieu culturel, la religion dans laquelle nous grandissons, nous tirons des conclusions de ce que nous vivons avec notre esprit logique du moment, notre déduction, et tous les paramètres de nos conditions de vie familiales et sociales.

 

Cette conclusion va s’avérer être positive ou négative selon le contexte ou l’histoire, et va imprégner notre esprit avec plus ou moins de force et de puissance, surtout selon notre âge.

Parfois même cette croyance n’est ni positive, ni négative, elle est inconsciente.

Nous vivons et évoluons avec elle, et c’est elle qui construit qui nous sommes.


Cette déduction va devenir notre vérité, notre croyance.

Quand une croyance se forme au départ, il s’agit d’une simple réflexion que l’on se fait et on se dit, inconsciemment bien souvent, que dorénavant on agira ainsi (à partir de cette pensée). Petit à petit, on va se mettre à agir en fonction de cette croyance et tous nos gestes vont résulter de celle-ci.

Les autres personnes vont réagir en fonction de ces gestes et de ces attitudes.

Petit à petit, nous allons avoir de plus en plus confirmation que tout ceci est vrai.

Cela va devenir une VERITE pour nous, même si ce n’est pas une réalité objective. 

Même si d’un point de vue objectif, il s’agit seulement d’une interprétation qui constitue notre propre modèle du monde.

Pour démasquer notre croyance limitante, nous allons devoir prendre le problème à l’envers : au lieu de chercher à comprendre quelle peut bien être cette croyance négative, nous allons observer ce qui ne fonctionne pas dans notre vie.

'il y a plusieurs choses que nous voulons réussir, changer ou améliorer dans notre vie, nous allons y aller par étapes en prenant les problèmes dans l'ordre.

Nous pourrons aborder la transformation des croyances limantes dans tous les domaines de votre vie au cours d'un atelier :

Croyances limitantes
SOMMEIL
Zèbre

AMELIORATION DE VOTRE SOMMEIL

La fonction essentielle de notre sommeil est de nous permettre d'avoir une bonne récupération

Le sommeil est primordial au bon fonctionnement de l'organisme et au maintien du bien être

Il permet et contribue à :

      * une récupération physique, psychique, nerveuse et intellectuelle

      * reconstituer nos réserves énergétiques comme les cellules, à la restauration de notre organisme, notamment celui du système immunitaire, la production hormonale, l’élimination de toxines... etc

     * la maturation du système nerveux au niveau des cellules nerveuses, à l' intégration des apprentissages, consolidation de la mémoire, accroissement de la vigilance en journée... etc

      * l’amélioration de l’humeur en régulant l'agressivité, l’irritabilité, le maintien de l’enthousiasme, la baisse du risque de dépression...  etc

 

Ces fonctions contribuent à leur tour au bon fonctionnement du système cardio-vasculaire, respiratoire, digestif ou bien encore à réguler la  température de notre corps.

 

Les conséquences de la privation de sommeil a rapidement des impacts sur nos performances. Cela entraine une baisse de la vigilance, de la concentration. Le ralentissement des réflexes entraînent à leur tour des difficultés à réfléchir et augmentent ainsi grandement les risques d’accidents dans notre quotidien.

 

Puis peuvent venir la fatigue musculaire, les troubles de la mémoire, les sautes d’humeur, les hallucinations et parfois une difficulté à se situer dans le temps ou dans l’espace. Il a été également constaté une prise de poids avec risques d’obésité.

POUR REMÉDIER AUX PERTURBATIONS DE NOTRE SOMMEIL

 

De base, nous pouvons déjà appliquer quelques conseils d’hygiène simples. Cela répond aux troubles mineurs ou occasionnels : 

   * réguler nos horaires pour se lever et se coucher 

   * ne pas chercher à se rendormir à tout prix si l'on se réveille tôt, voire très tôt, alors que nous n'en ressentons pas le besoin

   * savoir repérer les signaux de notre sommeil, comme les bâillements, les picotements des yeux... etc

   * effectuer des courtes siestes de 20mn en tout début d'après midi si nous en éprouvons le besoin

   * éviter les excitants après 16 heures, comme le café, le coca, la vitamine C... 

   * éviter le soir de prendre des repas copieux, l’alcool et le tabac  

   * limiter autant que possible au moment du coucher les stimulis comme par exemple, le bruit, la lumière, trop de chaleur, les écrans, la télévision

   * faire les exercices physique de préférence avant 22 heures

Dans certains cadres, les médecins prescrivent des médicaments, des appareillages, de la luminothérapie, voire des interventions chirurgicales...

 

La sophrologie est un outil adapté lorsque les troubles sont liés à :

     * un décalage horaire

     * à un état de tensions musculaires excessives comme dans le bruxisme

     * à des émotions intenses comme l’angoisse

 

Elle permet également : 

     * de se libérer des pensées ou croyances limitantes reliées à l’insomnie

     * de diminuer le stress qui accompagne ou amplifie les troubles

     * de participer à l’amélioration de la qualité de vie

     * de redevenir acteur de son bien-être

     * d'aider à se sevrer des traitements médicamenteux souvent installés depuis longtemps

     * de favoriser l'acceptation des appareillages de nuit

Les médecins proposent de plus en plus souvent la sophrologie à leurs patients dans le cadre de troubles du sommeil, car son efficacité est régulièrement observée et la prise en charge médicamenteuse peut être lourde de conséquences.

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Jocelyne Holer 

 

Sophrologue

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